Auteur: Bernard Werber
Éditeur: Le livre de poche
Edition: 2007
Pages: 503
Synopsis
Le " phénomène Werber " continue. Après Les Fourmis et Le Jour des fourmis, deux best-sellers au succès sans précédent dans le monde entier (traduits dans 17 langues des Etats-Unis à la Corée), voici Les Thanatonautes : la grande épopée moderne qui perce jusqu'au mystère de la mort. Nourri d'informations scientifiques souvent inédites, des textes sacrés et initiatiques les plus secrets des principales religions depuis le fond des âges, Bernard Werber nous entraîne à la découverte du continent ultime, au-delà de notre imaginaire. En suivant les Thanatonautes, vous connaîtrez des rêves et des terreurs insondables, vous subirez les lois d'un univers étrange, où se cache l'énigme qui hante les hommes depuis toujours... Jamais personne n'est allé aussi loin que les Thanatonautes. Ils ont exploré la vie après la vie. L'odyssée la plus stupéfiante de tous les temps.
J’avais découvert il y a quelques mois la plume de Bernard Werber par le biais de « l’arbre des possibles et autres nouvelles ». Ce livre m’avait passionné je l’avais lu rapidement et je ne désirais que de découvrir un peu plus l’œuvre de l’auteur.
Une amie m’a conseillé de poursuivre avec les thanatonautes et je peux vous dire que j’ai bien fait de suivre son conseil même si au début j’ai eu un peu de peine à me lancer.
Ce livre fait réfléchir. Je ne veux pas trop en dire pour ne pas enlever ce qui rend ce livre si marquant. Mais l’auteur a très bien présenté les défauts des êtres humains et de la quête désespérée du savoir. Le rapport à la mort est très bien développé et chaque mot est essentiel pour le déroulement du récit.
J’ai beaucoup aimé l’aspect scientifique de la recherche, je sais que c’est certainement une déformation professionnelle mais c’était un aspect vraiment important et très détaillé.
En définitive c’était une très bonne lecture et j’ai très hâte de lire d’autres livres de l’auteur et de me replonger dans les mondes pas si loin de la réalité mais pourtant si étranger que Bernard Werber met en place dans ces romans.