Auteur: David Ruiz Martin
Edition: Autoédité
Tome: -
Série: -
Pages: 408
Synopsis
Lorsque Raúl Pontes apprend l’existence d’un grand-père passé pour mort depuis trente ans, son sang ne fait qu’un tour. Persuadé que ce coup est l’œuvre de son irresponsable mère, un seul choix s’offre alors : celui de pousser la porte de ce passé. Horacio, ce grand-père au comportement amer lui demande alors une faveur étrange : retrouver son amour perdu il y a plus de soixante-dix ans. Ses indices le mèneront jusque dans les rues bondées de la capitale espagnole, en plein cœur du Madrid historique et de sa ferveur perpétuelle... mais le pousseront, aussi, bien plus loin, aux limites de l’insoutenable, où se mêlent les œuvres d’amour et de mort d’une guerre civile injuste et fratricide.
Je tiens tout d'abord à remercier l'auteur d'avoir pris contact avec moi sur Facebook et de m'avoir fait confiance en m'envoyant son roman en SP.
J'étais très contente de découvrir l’Espagne par le biais de ce roman. Voir cette Espagne dont certaines cicatrices sont toujours bien présente à travers les yeux de ce jeune homme blessé par la vie était une expérience riche en émotions.
Il y avait tout pour plaire dans ce récit: une histoire d'amour, des secrets de famille, quelques retour dans le passé. J'ai eu un peu de peine à entrer dans l'histoire, j'avais peur de ce que j'allais y trouvé, de lire trop de sujet politique ce que je n’apprécie pas particulièrement. Mais une fois mon appréhension passée j'ai dévoré ce roman.
Je me suis beaucoup attachée au personnage de Raúl, je ne sais pas exactement pourquoi mais il m'a beaucoup touché. Il a beaucoup souffert du manque d'affection de la part de sa mère, et de l'isolement qu'elle a instauré vis-à-vis de leur terre natale.
L'auteur a su faire passé beaucoup d'émotion dans sa plume, au début assez froide, comme l'état d'esprit de Raúl, puis de plus en plus chaleureuse. Comme si elle avait puissé cette chaleur et cette joie dans le soleil madrilène.